Dans une société marquée par les rapports de force, il n’est pas évident de considérer l’autre comme un potentiel partenaire plutôt que comme un adversaire.

Il y a des personnes avec lesquelles le courant passe spontanément. Et puis celles avec lesquelles c’est plus difficile. Vous tentez de ménager les un-e-s et les autres, en étant poli-e et en évitant les sujets qui fâchent. Certes, il y a des tensions, des personnes un peu isolées, mais n’est-ce pas le lot commun de tous les groupes ?

Si le plus souvent, les membres de votre association évitent de partager leurs émotions, surtout les émotions dites « négatives », reste-t-il de la place pour l’expression sincère de la joie, de la gratitude, de la satisfaction à faire partie de la communauté et à contribuer à un projet qui a du sens pour vous ?